Actualités

10 juil.

Nous ne laissons pas tomber et allons au Conseil d'Etat

À la suite de l’annulation de l’autorisation environnementale du projet éolien de Verrières par la CAA de Toulouse, une analyse critique de l’arrêt met en lumière plusieurs faiblesses. La cour mentionne des espèces protégées non observées localement et ignore des données techniques clés sur les systèmes de vidéo-détection. Elle néglige les avancées en intelligence artificielle et les exigences préfectorales de performance. L’évaluation des impacts sur l’avifaune n’est pas chiffrée et surestime les risques. Enfin, la décision ne respecte ni le principe de proportionnalité ni l’intérêt public majeur du projet. C’est pourquoi nous avons décidé de porter l’affaire devant le Conseil d’État.
28 juin

Éolien à Verrières : pourquoi nous continuons à y croire (réponse à l’annulation)

Malgré l’annulation de l’autorisation, la commune de Verrières réaffirme son engagement pour un projet éolien local, durable et respectueux de la biodiversité. Des mesures techniques innovantes pour protéger les rapaces existent. La concertation se poursuit avec tous les acteurs du territoire. Soutenez- nous: contact@projeteolien-verrieres.fr
27 juin

L'autorisation annulée par la cour administrative d’appel de Toulouse

Le 28 mai 2025, la Cour administrative d’appel de Toulouse a annulé l’autorisation environnementale du projet de cinq éoliennes à Verrières, invoquant un risque trop élevé pour plusieurs rapaces protégés. Malgré des mesures d’évitement intégrées (grande hauteur des éoliennes, systèmes de détection et arrêt automatique), la Cour a jugé l’évaluation des impacts insuffisante. L’intérêt public local, important pour la transition énergétique, n’a pas été pris en compte.
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juillet 2025 1article
juin 2025 2article
février 2024 1article
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Commune de Verrières
Tél. : 05 65 59 71 52
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Nous ne laissons pas tomber et allons au Conseil d'Etat

À la suite de l’annulation de l’autorisation environnementale du projet éolien de Verrières par la CAA de Toulouse, une analyse critique de l’arrêt met en lumière plusieurs faiblesses. La cour mentionne des espèces protégées non observées localement et ignore des données techniques clés sur les systèmes de vidéo-détection. Elle néglige les avancées en intelligence artificielle et les exigences préfectorales de performance. L’évaluation des impacts sur l’avifaune n’est pas chiffrée et surestime les risques. Enfin, la décision ne respecte ni le principe de proportionnalité ni l’intérêt public majeur du projet. C’est pourquoi nous avons décidé de porter l’affaire devant le Conseil d’État.