À la suite de l’annulation de l’autorisation environnementale du projet éolien de Verrières par la CAA de Toulouse, une analyse critique de l’arrêt met en lumière plusieurs faiblesses. La cour mentionne des espèces protégées non observées localement et ignore des données techniques clés sur les systèmes de vidéo-détection. Elle néglige les avancées en intelligence artificielle et les exigences préfectorales de performance. L’évaluation des impacts sur l’avifaune n’est pas chiffrée et surestime les risques. Enfin, la décision ne respecte ni le principe de proportionnalité ni l’intérêt public majeur du projet. C’est pourquoi nous avons décidé de porter l’affaire devant le Conseil d’État.